Le 5 juin 2025 à 19h30 - Entrée libre, Bourse du travail - 14 Place Imbach 49100 Angers
Et si on prenait le temps de parler conso. De quoi parle-t-on, de quelle.s conso.s ?
De conduites addictives ? D’addictions ?
Pourquoi consomme-t-on ? Pour affronter les difficultés ? La mission syndicale est-elle toujours aisée ?
Et qu’en dit la loi ?
Et notre bien-être, notre santé dans tout ça ?
L’objectif de ce temps de rencontre est de parler de nos représentations autour des consommations de psychotropes, ce qui nous motive à consommer (quand, comment, pourquoi ?), de rappeler le cadre règlementaire et de faire un lien entre addictions et travail.
Cette soirée est animée par des professionnelles de l’Association Ligérienne d’Addictologie (ALIA 49)
Les associations Quazar, Centre LGBT d’Angers et Tonic’s vous appellent à dire NON aux LGBTphobies !
Face à l’explosion du nombre d’agressions LGBTphobes en France ces dernières semaines. Parce que une voire deux agressions par jour connues et médiatisées (ajoutons donc les agressions dont les victimes n’osent pas parler) c’est beaucoup trop ! Parce que nous ne pouvons plus nous taire face à cette violence haineuse !
Venez dire non aux LGBTphobies
Le lundi 5 novembre de 18h à 20h – place du Ralliement – ANGERS
Venez nombreux pour dire Non à la violence et à la haine. Venez nombreux pour montrer qu’on continuera à vivre et qu’on ne se cachera plus !
Parce que nous avons le droit de vivre libre et en sécurité !
Hausse des prix de l’essence, blocage du pays le 17 novembre et manipulation de l’extrême droite
Depuis quelques jours un appel à bloquer le pays contre la hausse du prix de l’essence le 17 novembre circule sur internet et sur les réseaux sociaux. La vidéo virale vue plus de 2 millions de fois a été réalisée par « Frank Buhler » de la « Patriosphère » qui relaie des positions politiques les plus réactionnaires. Derrière cette vidéo, il y a une extrême droite opportuniste dont le souci n’est ni la défense des intérêts des travailleuses et des travailleurs, ni la politique d’aménagement du territoire, ni l’écologie. Nous refusons de relayer ses messages et vidéos et nous informons ceux et celles qui relaient ces appels de bonne foi de leur origine et de la manipulation qu’ils constituent.
Le nombre de personnes qui relaient cet appel montre bien l’importance que prennent aujourd’hui ces augmentations du prix de l’essence dans beaucoup de budgets. Il révèle la volonté croissante du salariat de dénoncer les politiques antisociales et d’agir. Nous partageons cette préoccupation et sommes opposé-es à ce que les personnes aux revenus les plus faibles soient celles qui paient, que ce soit les politiques énergétiques ou à cause des conflits internationaux qui font monter les cours du pétrole.
Nous voulons des augmentations de salaires !
Ce qu’il faut obtenir dans l’immédiat, ce sont des augmentations de salaire : +400 euros pour toutes et tous et le SMIC à 1 700 euros net ! Et nous ne l’obtiendrons qu’en nous mobilisant massivement, avec nos organisations syndicales, comme le font par exemple les salarié-es d’Air France.
Au-delà, nous savons bien qu’il faut apporter des réponses de fond à la question des énergies, en particulier dans le domaine du transport. Le modèle actuel n’est pas écologiquement soutenable. Il faut travailler sur les alternatives énergétiques mais aussi sur l’accroissement des réseaux de transport en commun. Ce qui implique notamment de défendre les petites lignes de trains menacées par le gouvernement actuel, d’arrêter la concentration des entreprises, des services et des administrations principalement autour des grandes agglomérations qui oblige les salarié-es à travailler de plus en plus loin de chez eux-elles.
C’est en agissant et en nous organisant collectivement que nous changerons les choses, à la fois contre ce gouvernement antisocial mais aussi sur le long terme, en particulier pour imposer une transition écologique nécessaire.
En réponse à la mobilisation des journalistes de Ouest-France, de Presse-Océan, du Maine Libre et du Courrier de l’Ouest depuis le 17 septembre, la direction a annoncé le 1er octobre qu’elle « n’ouvrira pas le 11 octobre le processus d’information-consultation des instances représentatives du personnel sur le projet actuel » de la nouvelle organisation des rédactions (NOR).
Les réunions auxquelles sont convoqués les élus CE et CHSCT de chaque titre ce jeudi 11 octobre ont pour unique ordre du jour : « Echange sur la méthode et le calendrier de concertation en vue de faire évoluer les projets rédactionnels et les organisations de la rédaction ».
Cela ne répond pas à la demande de retrait pur et simple du projet NOR.
La direction ne remet nullement en cause l’abandon de territoires et les suppressions de postes, ni la mutualisation des contenus entre journaux du groupe puisqu’elle souhaite s’appuyer sur « des synergies de bon sens ».
L’intersyndicale des Journaux de Loire appelle au maintien de la mobilisation de tous, jeudi 11 octobre, lors d’un rassemblement à 11 heures à Angers, place du Ralliement, dans le cadre d’un débrayage de 10 heures à 12 heures. Les confrères et consoeurs de Ouest-France des départements voisins seront également présents.
En grève et en manifestation le 09 Octobre 2018 :
les appels Intersyndicaux du 49 c’est ici :
Angers Cholet Saunur Segré et les 4 villes réunies c’est là
A travers une dépêche de l’AFP, le gouvernement a annoncé son intention de remettre en cause les accords de temps de travail antérieurs à 2001 dans la fonction publique territoriale par la loi, dès le premier semestre 2019.
Cette disposition clairement dogmatique du gouvernement accompagne logiquement la volonté de suppressions de dizaines de milliers d’emplois publics dans nos collectivités.
La conséquence de cette loi sera l’augmentation du temps de travail pour des centaines de milliers d’agents publics. Leurs conditions de travail se dégraderont davantage.
Pour la Fédération SUD Collectivités Territoriales, cette loi tournera le dos à l’une des mesures essentielles pouvant diminuer le chômage, répartir les richesses et améliorer nos conditions de travail et de vie : la réduction du temps de travail.
Nous réaffirmons notre volonté de nous battre pour le passage par la loi aux 32 heures vers 28h de travail par semaine, sans perte de salaire, pour l’ensemble des salariés du privé comme du public.
Nous appelons les autres organisations syndicales à s’engager avec nous dans la défense de ce conquis social et dans un mouvement pour la réduction du temps de travail.