SOIREE-SPECTACLE FEMINISTE - 1er mars au centre Jean Vilar

SAMEDI 1er MARS 2025 (à J – 8 du 8 MARS ) 18 H 30 à 21 H 30
Centre Jean VILAR, 1, rue Henri Bergson à Angers-la ROSERAIE

Solidaires 49

Derniers articles

  • Communiqué Sud Industrie du Maine et LoireLire la suite de «Communiqué Sud Industrie du Maine et Loire»

    , par Solidaires 49

    COMMUNIQUE COMPORTEMENT DES ENTREPRISES DU MAINE-ET-LOIRE
    FACE A L’EPIDEMIE DE COVID-19

    Depuis le mardi 17 mars, le gouvernement a mis en place un confinement sur l’ensemble du territoire pour faire face à un ennemi invisible, pour éviter une propagation trop rapide du Covid-19 qui entrainerait une saturation des lits de réanimation.
    Le message était clair « Restez chez vous », toutes les activités non essentielles au pays doivent cesser.}

    Le gouvernement Marcon après s’être attaqué durement aux conditions de travail des soignants (coupes budgétaires drastiques sur la santé publique, politique de tarification à l’acte…), se rend compte aujourd’hui que nous avons besoin d’eux.

    Celles et ceux qui étaient traités de privilégiés il y a quelques mois, qui ont été méprisés par le gouvernement, ignorant totalement leur détresse pendant des mois de grèves… Celles et ceux là sont aujourd’hui devenu des héros.

    Il était temps d’ouvrir les yeux, mais en attendant nos patrons
    vont-ils jouer le jeu et cesser leur activité pour aider nos soignants ?
    Les fabrications de camions, de bateaux, de pneus, d’isolations thermiques, ou même d’horloges sont-elles essentielles à la vie du pays ?

    L’occasion pour le syndicat SUD Industrie 49 de faire un tour d’actualité sur différentes sociétés du Maine-et-Loire.

    communiqué Sud Industrie du Maine et Loire
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  • Pour Jour D’Après Communiqué Lire la suite de «Pour Jour D’Après Communiqué »

    , par Solidaires 49

    Communiqué des organisations départementales ATTAC , CGT , FSU ,Mouvement de la Paix , Union Syndicale Solidaires, XR Angers , Youth For Climate Angers, du Maine-et-Loire.

    Ce communiqué reprend l’initiative nationale d’organisations associatives, syndicales et environnementale qui appellent à préparer "le jour d’après"}

    Pour le Jour D’Après
    Lundi 6 avril 2020, en pleine crise du Coronavirus, alors que le gouvernement prépare les plans de relance de l’économie française, quinze organisations associatives syndicale et environnementales, ont lancé une pétition nationale « Plus jamais ça, signons pour le jour d’après ! ».
    Cette pétition appelle à prendre des mesures porteuses de profonds changements politiques, afin de ne plus jamais avoir à faire face à la crise sanitaire actuelle.
    Elle appelle les citoyen·ne·s à se mobiliser pour que le « Jour d’Après » soit construit ensemble, en rupture avec les politiques menées jusque-là.
    Pétition a signer en ligne sur :#PlusJamaisCa, signons #PourLeJourDapres

    Communiqué des organisations départementales du 49
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  • Les salarié·e·s ne doivent pas payer le prix de la crise sanitaire !Lire la suite de «Les salarié·e·s ne doivent pas payer le prix de la crise sanitaire !»

    , par Solidaires 49

    Nos organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires se sont rencontrées le 8 avril. Elles n’ont pu que constater l’impéritie du gouvernement face à une crise sanitaire d’une ampleur et d’une violence inégalées.
    Où est passée la réserve d’un milliard de masques ? Où sont les blouses ? Où sont les solutions hydroalcooliques ? Où sont les tests ? Que sont devenues les mesures qui avaient été prises pour gérer une pandémie ? Tout a été enterré pour « réduire les déficits publics ! »

    Déclaration intersyndicale du 10 avril
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  • communiqué CGT/SUD/SNU du Ministère du Travail Sections de Maine et LoireLire la suite de «communiqué CGT/SUD/SNU du Ministère du Travail Sections de Maine et Loire»

    , par Solidaires 49

    Communiqué des syndicats CGT/SUD/SNU du Ministère du Travail Sections de Maine et Loire"

    "Coronavirus. « Nous dénonçons les entraves et pressions contre
    l’Inspection du travail ! »

    Nous dénonçons les pressions, menaces et entraves exercées par la Direction du Travail des Pays de la Loire à l’encontre des agent∙es de
    l’Inspection du travail pour les empêcher d’exercer leurs missions dans
    le cadre de la pandémie actuelle
    , notamment de contrôler la bonne
    application des mesures de protection de la santé des salarié∙es dans
    les entreprises.

    En effet depuis l’arrivée de la pandémie et le début des mesures de
    confinement, plusieurs agent∙es de l’Inspection du travail des Pays de
    la Loire ont été entravé∙es dans leurs contrôles par leur propre
    Direction.
    Le message est clair, c’est celui prôné par le Gouvernement :la protection de la santé des salarié·es et le respect du Code du
    travail passent après la continuité de l’activité économique des entreprises. Pas de contrôles, déplacements exceptionnels dans les
    entreprises, et fermez les yeux sur la pénurie de masques de protection et de gel hydro-alcoolique ou sur le non-respect des gestes barrière.

    Ainsi dans le Maine et Loire, deux agents de contrôle ont reçu un
    courrier disciplinaire de leur Direction. Ceux-ci avaient écrit par
    courriel à une entreprise d’aides à domicile et à un laboratoire
    d’analyse pour leur rappeler les mesures de protection de la santé des
    salarié∙es (gestes barrière, mise à disposition de masques le cas
    échéant…) et leur demander de justifier de la bonne application de ces
    mesures par retour de courriel.
    Ils rappelaient notamment à ces structures qu’en cas de non-respect des mesures de protection de la santé leur responsabilité pénale était engagée, et qu’il leur appartenait de retirer les salarié∙es de toute situation de danger grave et imminent (et le cas échéant de recourir à l’activité partielle).
    Mécontents de ces demandes, les dirigeants de ces structures ont saisi
    le Préfet et le Président du Conseil Départemental pour s’en plaindre.
    Ces deux agents de contrôle ont alors reçu un courrier disciplinaire de
    la Directrice Départementale du Travail les rappelant à l’ordre et leur
    demandant de « se conformer aux instructions [du] supérieur hiérarchique », c’est-à-dire, de cesser de demander l’application des mesures de protection de la santé des salarié∙es.
    Et ont appris que la Directrice du Travail avait contacté ces structures sans qu’ils soient prévenus,pour remettre en cause leurs actions.

    Dans le même département, une Inspectrice du travail qui avait écrit à
    un centre d’appel angevin suite à une alerte syndicale et à des plaintes
    de salarié·es dénonçant l’insuffisance des mesures de prévention a
    également vu son action de contrôle remise en question par la Directrice du Travail, qui a appelé l’entreprise pour contredire ses propos s’agissant de la possibilité pour les salarié·es de se retirer des
    situations de travail présentant un danger grave et imminent pour leur
    santé.

    En Loire Atlantique, c’est une Inspectrice du travail qui a été rappelée
    à l’ordre par le Directeur Départemental du Travail tandis que le
    Directeur Régional appelait l’entreprise pour la rassurer. Elle avait
    été saisie par les élus du personnel d’une entreprise industrielle de
    Nantes qui estiment que la protection de la santé des salarié∙es n’était
    pas assurée. Elle a alors écrit un courriel à l’entreprise pour lui
    rappeler les mesures de protection de la santé des salarié∙es et lui
    demander de justifier de la bonne application de ces mesures. Elle lui
    rappelait la aussi que les salarié∙es pouvaient se retirer de toute
    situation de danger grave et imminent et que l’entreprise pouvait le cas
    échéant recourir à l’activité partielle.
    Là encore, mécontent, le dirigeant de l’entreprise saisi le Préfet. L’Inspectrice du travail a alors reçu un appel du Directeur Départemental du Travail pour la recadrer et la rappeler à l’ordre, en lui rappelant que « l’activité ne doit pas cesser dans cette entreprise ». Ensuite l’Inspectrice a appris que le Directeur Régional du travail lui-même était intervenu derrière elle auprès de l’entreprise pour remettre en cause son action.

    Dans la Sarthe, un Inspecteur du travail qui avait écrit à une
    entreprise de conditionnement pour lui rappeler son obligation de
    protection de la santé des salarié·es et la possibilité de solliciter
    l’activité partielle a également vu son action de contrôle remise en
    question par le Directeur du Travail, qui a été appelé par l’entreprise
    et a contredit l’intervention de l’agent de contrôle.

    De nombreux autres cas nous sont ainsi remontés, de pressions et de
    consignes visant à faire cesser toute mesure contraignante à l’encontre
    des entreprises, même lorsqu’elle ne respectent pas la protection de la
    santé de leurs salarié∙es.

    Alors qu’aujourd’hui des dizaines de salarié∙es sont déjà mort∙es du
    COVID-19 qu’ils/elles ont potentiellement attrapé en entreprise, nous
    dénonçons ces pressions et entraves inadmissibles et illégales dont nous exigeons qu’elles cessent et que les sanctions notifiées soient
    retirées.

    Nous rappelons que la Loi et les Conventions internationales de
    l’Organisation Internationale du Travail garantissent le plein exercice
    des missions de l’Inspection du travail, même en temps de crise :
    veiller à l’application du Code du travail dans les entreprises,
    notamment en ce qui concerne les règles de protection de la santé des
    salarié∙es, reste l’essence de notre métier.

    Les syndicats CGT/SUD/SNU du Ministère du Travail – Sections de Maine et Loire"

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  • intersyndicale des Retraités au préfet du 49Lire la suite de «intersyndicale des Retraités au préfet du 49»

    , par Solidaires 49

    Intersyndicale des Retraités CGT, FO, CFTC, FSU, Solidaires, FGR, LSR

    Les organisations de retraités CGT, FO, CFTC, FSU, Solidaires, FGR-FP et LSR de Maine-et-Loire s’adressent à vous solennellement pour vous faire part de leurs plus vives inquiétudes concernant les conséquences de la crise sanitaire liée à l’épidémie du COVID-19, en particulier sur les personnes âgées et pour vous demander de prendre les mesures qui s’imposent.

    Lettre ouverte à Monsieur René BIDAL, Préfet de Maine et Loire

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